Trois méthodes permettent d’obtenir de
l’énergie électrique sans nécessiter de
combustion :
– la conversion d’énergie mécanique, soit directe (dynamos, éoliennes, hydroliennes, barrages hydroélectriques), soit indirecte à partir d’énergie thermique (centrales nucléaires, centrales solaires thermiques, géothermie) ;
– la conversion de l’énergie radiative reçue du Soleil (panneaux photovoltaïques) ;
– la conversion électrochimique (piles ou accumulateurs conventionnels, piles à hydrogène).
– la conversion d’énergie mécanique, soit directe (dynamos, éoliennes, hydroliennes, barrages hydroélectriques), soit indirecte à partir d’énergie thermique (centrales nucléaires, centrales solaires thermiques, géothermie) ;
– la conversion de l’énergie radiative reçue du Soleil (panneaux photovoltaïques) ;
– la conversion électrochimique (piles ou accumulateurs conventionnels, piles à hydrogène).
Ces méthodes sans combustion ont
néanmoins un impact sur l’environnement et la
biodiversité ou présentent des risques
spécifiques (pollution chimique, déchets
radioactifs, accidents industriels…).
Pour faire face à l’intermittence liée à certains
modes de production ou à la consommation,
l’énergie électrique doit être convertie sous
une forme stockable :
– énergie chimique (accumulateurs) ;
– énergie potentielle (barrages) ;
– énergie électromagnétique (supercapacités).
– énergie chimique (accumulateurs) ;
– énergie potentielle (barrages) ;
– énergie électromagnétique (supercapacités).